Transat Bretagne-Martinique : guerre d’usure
— 3 avril 2013Cette nuit, les marins en ont bavé. Dans les grains, le vent est monté jusqu’à 42 nœuds au plus fort, obligeant les solitaires à tenir la barre douze heures durant. Difficile de contrôler parfaitement sa trajectoire dans le noir total quand la mer fait le gros dos.
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